6632
points
Questions
19
Réponses
792
-
Bonjour,
Comment va ton fils, ta tante ? Cet extrait de dialogue transcrit probablement une élision, une pratique fréquente à l’oral (et aussi à l’écrit) quand on évite de répéter exactement les mêmes mots et qu’ils sont alors sous-entendus. Dans le cas présent, la ponctuation pourrait d’ailleurs être différente : Comment va ton fils ? Ta tante ?
Si vous renoncez à l’élision, vous ne pouvez en aucun cas écrire *Comment vont ton fils, ta tante ?
Soit vous associez les deux personnes dans l’attente d’une réponse commune et vous devez coordonner les noms : Comment vont ton fils et ta tante ?
soit vous les dissociez et vous devez doubler la question : Comment va ton fils? Comment va ta tante ?Vous pouvez aussi opérer une élision moins radicale : Comment va ton fils ? …et ta tante ?
- 388 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
- 668 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
1. Impossible de répondre à votre question hors d’une phrase complète et plus largement du contexte. Si vous désignez par partition les feuillets sur lesquels est imprimée la mélodie, dès lors qu’il y a plusieurs objets, le pluriel en découle naturellement. Si vous désignez par partition le concept de transcription de la musique, alors vous pouvez utiliser un singulier : la partition des morceaux. L’introduction du déterminant certains indique simplement que seule une partie des morceaux est concernée.
2. En effet, vous focalisez le discours sur les propositions l’une après l’autre (chacune), et vous posez la question sur l’ensemble. C’est contradictoire ! Il faut choisir :
- Pouvez-vous me dire parmi les propositions suivantes lesquelles sont justes et lesquelles sont fausses ?
ou
Pouvez-vous me dire pour chacune des propositions suivantes si elle est juste ou fausse ?
- 327 vues
- 2 réponses
- 0 votes
- Pouvez-vous me dire parmi les propositions suivantes lesquelles sont justes et lesquelles sont fausses ?
-
Bonsoir,
On considère que les réformes sont d’une certaine nature, d’un certain ordre. Il n’y a qu’une nature, qu’un ordre, qui peut cependant embrasser plusieurs domaines, plusieurs qualités : Des musiques de nature joyeuse et entrainante. Des réformes d’ordre économique et social. Des bâtiments de style moderne et audacieux.
- 1184 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonsoir,
Je ne vais pas commettre cette bassesse.
Je ne vais pas m’abandonner à cette bassesse.- 399 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Vous avez le choix selon que vous considérez le problème dans sa globalité ou dans ses multiples répétitions.
Vous pouvez aussi décider d’accorder au mot bavardage un sens conceptuel (Le bavardage est son principal défaut), et auquel cas tout mettre au singulier : Moins de bavardage ne pourra qu’être favorable à vos progrès.
- 945 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonsoir,
Le français offre un certain choix pour marquer l’interrogation, par exemple pour une question totale : intonation (Vous parlez français ?) / inversion (Parlez-vous français ?) / Locution introductive (Est-ce que vous parlez français ?). La plupart des langues n’offrent généralement pas autant de choix : essayez donc d’interroger en anglais juste par l’intonation ! Mais les moyens varient d’une langue à l’autre. L’inversion semble en revanche le moyen commun aux langues germaniques (hors anglais) . Peut-être une origine à chercher dans cette direction ?
- 691 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonsoir,
L’expression « avoir affaire« , sans complément indiquant à qui ou avec qui, est tombée en désuétude mais elle est présente dans la littérature du XIXe siècle (Balzac, Restif de la Bretonne) ; il faut la comprendre dans le sens avoir une affaire à traiter, avoir rendez-vous et non dans le sens d’avoir quelque chose à faire.Cette réponse a été acceptée par MLGCL. le 4 décembre 2024 Vous avez gagné 15 points.
- 400 vues
- 1 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,,
Commençons d’abord par constituer une phrase complète, par exemple : « Une nuit que je contemplais le résultat de mon labeur, une question me vint. »
Dans celle-ci, l’ensemble du groupe « Une nuit que je contemplais le résultat de mon labeur, » constitue un complément circonstanciel de temps de la proposition « une question me vint. » : Une question me vint… oui, mais quand ? une nuit que je contemplais le résultat de mon labeur.
Dans l’ensemble « Une nuit que je contemplais le résultat de mon labeur, » , la partie « que je contemplais le résultat de mon labeur » constitue une proposition subordonnée relative déterminative du nom nuit : Une question me vint… quand ? une nuit n’importe quelle nuit ? Non , une de celles que je contemplais le résultat de mon labeur. Dans ce dernier groupe, on peut aussi considérer que la conjonction que a une fonction de complément circonstanciel de temps de je contemplais
- 410 vues
- 4 réponses
- 1 votes
-
Bonsoir,
manger est un infinitif complément du nom envie (l’envie de manger, le désir d’apprendre, la joie de recevoir).
y est un pronom, complément circonstanciel de lieu.Dans cette expression usuelle (avoir envie), l’article a en effet disparu, mais on peut le réintroduire sans changement de sens (j’ai l’envie d’y manger)
Cette réponse a été acceptée par Arya. le 3 décembre 2024 Vous avez gagné 15 points.
- 570 vues
- 3 réponses
- 0 votes

