Ah dommage, je suis trop « jeune adhérente » pour pouvoir approuver une réponse, celle de Tara, mais je suis du même avis. Et pour moi la nuance est vraiment importante. Le pluriel donne une sensation d’impasse, de dénuement total : sans convictions d’aucune sorte, même la plus petite, c’est-à-dire qu’on ne trouverait rien même en regardant dans tous les coins. Au singulier, pour moi, c’est plutôt une question d’attitude, cela décrit un état d’esprit mou et désabusé, alors que le pluriel m’évoque plutôt la situation désespérée. 😉