ah ok !! merci, je préfère ça !

Bonjour Chambarron,

Vaste sujet encore que celui-ci … Il me fait resurgir un questionnement resté sans réponse.

« Le président de la République » quand on parle du personnage mais « Monsieur le Président » quand on s’adresse directement à lui. (à priori ce principe serait de mise pour d’autres professions ou statuts… juge, procureur, cardinal, etc.)

Je me suis toujours demandé si cette majuscule s’imposait par rapport à une réelle règle de la langue française ou bien si elle ne s’était imposée que par « fantaisie » (marque de bienséance souhaitée s’afficher par celui qui s’adresse … ou bien vanité par celui qui la souhaite)

Bonne journée Chambarron 🙂

Non, le sujet n’est pas vaste , il est même extrêmement restreint sauf pour ceux qui aiment inutilement se compliquer la vie.
En cadeau, le plus célèbre des « Monsieur le président… » tel qu’il s’écrivait en 1954.

Merci pour ce cadeau que j’apprécie énormément Chambarron.

… Je ne suis cependant pas certaine que le « Monsieur le président » de Boris Vian (ou autres pseudonymes) puisse faire référence sur le manque de majuscule quand on s’adresse directement à un président en 1954.

J’ai lu qu’à l’origine son texte/chanson, se disant « officiellement » vouloir être pacifiste, se terminait de manière plutôt inverse.
Je cite :
« Si vous me poursuivez,
Prévenez vos gendarmes,
Que j’emporte des armes,
Et que je sais tirer »
De là à penser que le manque de majuscule ait pu être volontaire… il n’y a qu’un pas.

Ceci étant dit, peu m’importe, j’aime le personnage et je comprends très bien pourquoi il a pu écrire tel texte.
(je crois que, comme lui, je me serais également passée de la majuscule 😉 )

Je vous souhaite une bonne soirée Chambarron