RE: comment assembler ces deux éléments ?
« Les yeux clos, adopter la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, sans résister ni paniquer, permettre à l’instructeur surgi sans crier gare de nous pincer les narines tout en obstruant notre bouche, notre nuque plaquée contre sa poitrine, nous relâchant uniquement quand nous sommes près de mourir suffoqués. »
Je rencontre des difficultés à joindre « permettre à l’instructeur de nous pincer les narines » à « ,nous relâchant uniquement quand nous sommes près de mourir suffoqués. » Ça ne fonctionne pas ensemble, de cette manière, il me semble. Comment assembler ces deux éléments de phrase en un tout cohérent ?
Merci d’avance pour vos réponses.
Les yeux clos, adopter la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, sans résister ni paniquer, permettre à l’instructeur surgi sans crier gare de nous pincer les narines tout en obstruant notre bouche, notre nuque plaquée contre sa poitrine, nous relâchant uniquement quand nous sommes près de mourir suffoqués.
Je vous propose deux formulations :
Les yeux clos, adoptez la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, sans résister ni paniquer, laissez faire l’instructeur surgi sans crier gare : il vous pincera les narines tout en obstruant votre bouche, votre nuque contre sa poitrine, et ne vous relâchera qu’au moment où vous serez près de mourir suffoqués.
Les yeux clos, nous adopterons la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, l’instructeur ayant surgi à l’improviste, nous ne lui opposerons aucune résistance et le laisserons sans paniquer, nous pincer les narines tout en obstruant notre bouche, notre nuque plaquée contre sa poitrine, ne nous relâchant qu’au moment où nous serons près de mourir suffoqués.

Merci, Tara. Malheureusement, je dois rester à l’infinitif, car il s’agit d’une liste d’exercices de kung-fu qui commence ainsi :
« Pour vous donner une idée de l’état d’esprit de ce cours, voici quelques uns de nos exercices : ramper sur le dos sans faire de bruit ; »

Que pensez-vous de ça ?
« Les yeux clos (…), permettre à l’instructeur (…) de nous pincer les narines… (…) …de nous relâcher uniquement quand nous sommes près de mourir suffoqués. »

Et de ça ?
« Les yeux clos, adopter la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, sans résister ni paniquer, permettre à l’instructeur surgi sans crier gare de nous pincer les narines tout en obstruant notre bouche, notre nuque plaquée contre sa poitrine, et consentir à une délivrance qui adviendra uniquement quand nous serons près de mourir suffoqués. »

Ou de ça ?
« Les yeux clos, adopter la posture dite du “cavalier de fer” (ma bu), puis, sans résister ni paniquer, permettre à l’instructeur surgi sans crier gare de nous pincer les narines tout en obstruant notre bouche, notre nuque plaquée contre sa poitrine, et attendre une délivrance que nous nous verrons accorder uniquement quand nous serons près de mourir suffoqués. »