RE: cauchemarDer, abriTer, verrglaCer
J’aimerais savoir pourquoi on a un « cauchemar » sans D, et le verbe « cauchemarder » avec un D. De même pour « abri » et « abriter » ? Et, pourquoi le S se transforme en C dans « verglas » qui devient « verglacer » ?En l’attente de votre réponse,
Cordialement,
Merci !
Et pendant que l’on est dans les anomalies françaises, si quelqu’un a une réponse pour celle-ci, merci :
Le nombre « dix » finit par un X que l’on prononce tel un S, mais dans une « dizaine » le X se transforme en Z que l’on prononce Z et enfin, un « dixième » contient bien par un X, mais se prononçant Z. Pourquoi ?
dix :
Du latin dĕcem (« dix »), issu du proto-indo-européen *déḱm̥t. Il donne dis en ancien français là où on attendrait normalement *diz (→ voir vocem → voiz). Dis est sans doute analogique de sis (du latin sex). De même, la graphie moderne dix est analogique de six, « justifiée » par sex.