RE: Un paris-brest mais un verre de côtes-du-Rhône
Bonjour,
En consultant le Robert, je vois que Paris et Brest perdent leurs majuscules dans le nom lexicalisé du gâteau bien connu, le paris-brest.
Par contre, toujours dans le Robert, je vois qu’on peut boire un verre de côtes-du-Rhône. Pourquoi garder la majuscule ?
Dans un autre ouvrage, La majuscule, c’est capital (J-P Colignon, pp.119-120), on trouve « un verre de côtes-du-rhônes« .
Qui croire ?
Merci d’avance.
Je ne comprends pas bien votre question, joelle. Ma réponse me paraît claire, elle n’a jamais varié et elle est validée par l’Académie française : rhône sans majuscule ; un côtes-du-rhône.
En revanche, je ne comprends pas votre règle du trait d’union.
(J’avais unproblème de *** xion et je n’ai malheureusement pas pu répondre à temps, au tout début).
Au fait : 981 😉 ! (vous me comprendrez si vous avez un peu de mémoire) ! Mais je suis très étourdi.
Amicalement.
Félicitations 😉 pour tout mais vous avez écrit « vous avez raison » ;-( d’où ma question !
Pourquoi cette erreur dans le Robert ? Il faut peut-être leur signaler
j’avais lu aussi cette orthographe dans une encyclopédie du vin mais je ne retrouve pas la référence…
Quant à Légifrance, ils écrivent autrement…
Bravo encore !
