RE: Fondre deux propositions en une
Bonjour,
Cette phrase-ci vous semble t-elle correcte ou s’agit-il d’une formulation orale ?
Isaac aurait eu une coquille qu’à la moindre contrariété, il s’y serait réfugié.
Merci beaucoup !
Et au vu de votre exemple, je suppose qu’une formulation avec Isaac aurait-il eu serait également correcte ?
Autant dans l’exemple de la grammaire où le verbe est conjugué à l’imparfait de l’indicatif la forme interrogative est incontournable et exige la présence inversée du pronom, autant avec un conditionnel elle n’est pas utile quoique possible. Mais pourquoi vous encombreriez-vous de mots superflus ? Personnellement, je préfère sans ils et sans que : « Isaac aurait eu une coquille, à la moindre contrariété, il s’y serait réfugié. »
Je trouve que, la conjonction « que » donne du relief, insiste. Ce peut être intéressant.
