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Bonjour,
la réponse est très simple , il n’y a qu’une seule façon correcte d’exprimer une interrogation: Pronom complément (si existant) ou adverbe- verbe-sujet ?
1. Où vas-tu ?
2. Quelle est ton humeur?
3. Que mange-t-il ?
4. Qui embrasse-t-elle ?
5.Comment dormez-vous ?Ensuite, l’oralité fait ce qu’elle veut de cette règle, ce qui est accepté suivant le contexte, le lieu, la personne destinataire, etc.
1. Tu vas où ?
2. tu es de quelle humeur ?
3. il mange quoi ? (que devient quoi si c’est une chose)
4. Elle embrasse qui ?
5.Comment vous dormez ?Liste non exhaustive.
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Bonjour,
Seule votre seconde phrase est correcte, la restriction est marquée par l’adverbe uniquement.
Votre première pourrait s’envisager avec la tournure ne…que… qui est restrictive, mais alors il faut se passer de l’adverbe uniquement.
« Cette lecture conduit à n’envisager ces relations que comme dépendantes des orientations du gouvernement »
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Bonjour,
La formulation : « Nous avons besoin du temps » est incorrecte sauf si le temps est quelque chose de défini. ( Un journal suisse par exemple )
Si vous avez besoin d’une période indéterminée, alors la bonne formulation est : « Nous avons besoin de temps » et dans ce cas l’usage de dont est proscrit.
votre phrase devient : « Peut-être est-ce de temps que nous avons besoin ? »- 621 vues
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Bonjour,
l’instant de l’énonciation -> présent
Instant du « souhait » -> présent, un souhait est un futur inaccompli : un subjonctif imparfait ou passé n’ont pas de sens ; il n’y a pas de subjonctif futur, c’est le subjonctif présent qui est en usage.
la bonne formulation : « je m’interroge quant à la façon dont je souhaiterais qu’il soit compris »- 280 vues
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Bonjour,
sans même tenir compte du fait que voire introduit en général une emphase alors que les deux verbes de votre phrase n’ont que peu de rapport « d’intensité » entre eux (voire même aucun), l’usage de même à valeur de renforcement (que l’on peut donc supprimer sans rien changer au sens de la phrase) ne pose aucun problème comme pour d’autres propositions ou adverbe qu’il renforce sans que personne s’en offusque.
« Ainsi engourdie, gelée, pétrifiée, à peine avait-elle remarqué deux ou trois fois le bruit d’une trappe qui s’était ouverte quelque part au-dessus d’elle, sans même laisser passer un peu de lumière… » V. Hugo
« …peut-être même aucune que l’on ne puisse obtenir sans leur secours… » D. Diderot.
Peut-on renforcer une emphase, telle est la question et la réponse est oui. Décider que ce petit mot apporte quelque chose au discours reste finalement l’apanage de celui qui le rédige.
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Bonsoir,
Aucun problème à user du conditionnel dans cette tournure qui a une valeur concessive et non conditionnelle
« Si je n’aurais jamais l’idée de contester dans le fond les préconisations de […], je peux faire fi de ces dernières » par exemple.
La concession est plus fréquemment marquée par la locution « même si » surtout si elle est suivie d’un verbe à la forme affirmative.
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La Cigale, ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
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Bonjour,
comme l’écrit marcel1, les « : » sont à supprimer.
Pour le reste il semble bien que le projet à gérer comporte 3 volets : 1 logistique, 1 administratif et 1 budgétaire.
Je laisserai sans hésiter au singulier.
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Bonjour,
Un l’ explétif étant par définition une coquetterie sans aucune fonction grammaticale, j’aurais tendance à penser que vous pouvez en user selon vos envies.
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Bonsoir,
ce qui est commandé, c’est le raccordement, donc l’accord est masculin singulier.- 901 vues
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