Oui, c’est presque bien écrit :  « Les filles aiment les chroniques, pourvu que ça parle d’amour. »

On pourrait y ajouter : « Les garçons aiment les mêmes chroniques, pourvu que ça parle de filles. »

Bonjour,

J’écrirais plutôt:

« Les filles aiment les chroniques, pourvu qu’il soit question d’amour. »

Je pense que l’expression : « pourvu que ça parle de…» ressortit au langage très familier.

Plutôt réducteur…

« Aimer les chroniques » ça ne veut pas dire grand chose, sans précisions.
On peut aimer les chroniques de tel journaliste, ou celles qui traitent de tel sujet.

Mes suggestions :
Les filles comme les garçons aiment les chroniques qui traitent d’amours adolescentes.

Les femmes aiment les chroniques autour de l’amour, pourvu qu’on n’y défende pas les sempiternelles théories sexistes bourrées de clichés.