COD des verbes pronominaux

Bonsoir,

 

Dans un verbe pronominal comme ( s’expliquer, se permettre …)

le (se) est il un réel complément d’objet directe ?

autrement dit , c’est intolérable d’écrire :

 » Toute décision dont on peut s’expliquer la raison ,a-t-elle de légitimité ? »

 

?

JCDEY Maître Demandé le 20 décembre 2015 dans Général

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3 réponse(s)
 

Je vous propose une réécriture de votre phrase dans un style plus léger.
Quand je rédige, j’essaie de remplacer les subordonnées (un peu lourdes) par des adjectifs ou des phrases nominales, infinitives,etc. Par exemple, « dès qu’il est arrivé »==>dès son arrivée.

Une décision explicable (ou justifiée) est-elle pour autant légitime ?

« dont on peut s’expliquer la raison » ==>compréhensible, intelligible,etc.

joelle Grand maître Répondu le 20 décembre 2015

Mais, ça ne va toujours pas mieux ?

le 20 décembre 2015.

A l’attention de l’arbitre et juge de paix, on a le droit de corriger nos réponses sans alourdir avec des commentaires sur nos corrections.

le 20 décembre 2015.

En effet, mais puisque vous insistez sottement, je puis vous répondre qu’eux ne me reprochaient pas de corriger mes réponses sans le signaler, ce que vous avez fait dix heures avant ce message. En outre, ils ne m’accusaient pas de « mettre mon grain de sel ».  « Mettre mon grain de sel », j’appelle cela répondre aux questions,  même si vous jugez cela « sans intérêt », ce qui bien sûr n’est pas hautain de votre part mais une vérité absolue et intangible. Relisez ce que vous écrivez à tête reposée et vous comprendrez peut-être, si les mots ont un sens pour vous.
Si vous corrigez mes erreurs ou me les signalez poliment comme cela a toujours été la règle, je vous remercierai.
Et puisque je suis aux mises au point, Cathy Lévy  s’est disputée avec un questionneur qui n’était pas régulier ; elle avait d’ailleurs quelques torts.
Mais elle n’a pas été exclue comme vous le prétendez. Donc vous mélangez et refaites l’histoire comme cela vous arrange. 

le 20 décembre 2015.

Ce n’est pas croyable toutes ces histoires!!

le 21 décembre 2015.

Regardez qui a tiré le premier !

le 21 décembre 2015.

Bonjour,

Les verbes accidentellement pronominaux

Un verbe accidentellement pronominal est un verbe qui s’emploie aux  formes simple et pronominale.

Un verbe accidentellement pronominal peut être :

1-  Réfléchi

Il se lave.

Elle se regarde dans une psyché.

Le pronom conjoint d’un verbe réfléchi peut avoir diverses fonctions

a) Elle s’est lavée ──► « s’» est C.O.D

b) Elle s’est lavé les mains ──► « s’» complément du nom mains

c) Elle s’est donné la mort ──► «s’» est C.O.I

 

2- Réciproque

Pierre et gilles se sont téléphoné

Les joueurs de cette équipe s’encouragent.

 

3- Sens passif

Il s’appelle Jean.

Le mot hapax s’emploie rarement sur ce site.

Le vin rouge se sert chambré.

Cette revue ne se vend pas ici.

Cette règle s’explique facilement.

Le sujet d’un verbe pronominal de sens passif subit l’action évoquée par le verbe sans exercer lui-même cette action. On est donc très proche, par le sens, de la voix passive puisque la part d’activité du sujet est pour ainsi dire nulle.

 Le pronom réfléchi des verbes de sens passif n’assume aucune fonction grammaticale dans la phrase; ils ne sont ni complément direct, ni complément indirect.

Dans la phrase, à la construction plutôt lourde, que vous proposez, le pronom «s’» n’a aucune fonction grammaticale.

 

czardas Grand maître Répondu le 20 décembre 2015

Je crois comprendre à qui vous vous adressez ci-dessus, et que certaines interventions ont été supprimées, ce qui rend ce règlement de comptes assez peu compréhensible pour le visiteur de passage.

En revanche Joëlle, je n’ai rien à voir dans vos petites querelles, et je ne suis pas sûre d’apprécier d’y être mise en cause nommément (je vous cite) :
« Et puisque je suis aux mises au point, Cathy Lévy  s’est disputée avec un questionneur qui n’était pas régulier ; elle avait d’ailleurs quelques torts. »

À propos de mise au point, tout d’abord je ne vous reconnaît pas le droit de me citer nommément en mon absence, ni de juger de mes torts, d’autant plus que personne ne vous demandait votre avis à ce sujet et que ça n’était pas le propos.

D’autre part, je ne vous reconnaît pas le droit de parler de « dispute ».
Je ne me suis « disputée » avec personne, j’ai été prise à partie gratuitement, agressée, et plutôt vertement.

Évidemment, par la suite l’auteur est venu apporter certaines modifications à sa prose et « alléger » ses propos les plus indécents (ce qui ne change malgré tout pas grand chose au ton acerbe et au contenu inacceptable), et notre « Modérateur », qui s’est réveillé 6 mois plus tard (!), a jugé sans savoir, de trois mots jetés, parfaitement injustes et injustifiés.

Non, je n’ai pas été exclue. Pourquoi l’aurais-je été ?
Le contrevenant à la charte (et aux règles élémentaires de la courtoisie) n’a pas même été rappelé à l’ordre.
Alors, je me suis simplement absentée… pour respirer un air un peu plus pur.

D’ailleurs, je vous mets au défi de me démontrer un seul de ces torts dont vous vous permettez de m’accuser, une seule phrase déplacée de ma part. Vous n’en trouverez pas.
Je me suis juste efforcée de répondre à une question, avec courtoisie, à propos de langue française, mais n’ai pas accepté de me laisser maltraiter sans raisons, toujours avec la plus grande courtoisie.

Cathy Lévy Grand maître Répondu le 28 janvier 2016

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