Je n’aurais mis ni  « et »   ni   » ni « .
J’aurais mis  « ou » et tous les mots au singulier.
ou= quiconque, qu’il fût  (sous-entendu)  femme ou enfant………………
Il partit à la découverte du monde, sans prévenir quiconque, femme ou enfant, cousin ou cousine, voisin ou voisine de sa décision.

Merci Brad. Je comprends. Effectivement après « quiconque »… Votre phrase me semble plus fluide. Et s’il y avait eu « qui que ce soit » à la place de quiconque ? Même raisonnement ?

Bonsoir Zully.

Je ferais précéder l’énumération d’un deux-points puis j’aurais fait précéder chaque terme de ni : « Il partit à la découverte du monde, sans prévenir quiconque de sa décision : ni femme ni enfants, ni cousins  ni cousines, ni voisins ni voisines  ».

On pourrait aussi utiliser des tirets :  « Il partit à la découverte du monde, sans prévenir quiconque  – ni femme ni enfants, ni cousins  ni cousines, ni voisins ni voisines – de sa décision ».

Je vous remercie PhL, votre réponse est plus complète et propose les « ni » auxquels j’avais pensé. L’utilisation des tirets est intéressante. Je les utilse peu et les propose peu aussi. Je vais y songer.

Bonjour,

La surabondance des mots auxquels s’ajoutent des termes de liaison confèrent à cette phrase une impression de lourdeur. Pour lui donner plus de légèreté et de fluidité on a recours à l’asyndète.

Sans prévenir femme, enfants, cousins, cousines, voisins, voisines, il était parti à la découverte du monde.

Je ne peux que remercier les auteurs qui me font me poser des questions, Czardas. Votre réponse est effectivement légère, élégante. Je vais voir avec l’auteur qui avait déjà accepté la proposition de PhL.