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Bonjour, non, elle est incorrecte : dans cette phrase, le sujet est le pronom on qui est toujours suivi d’un verbe à la troisième personne du singulier (comme il), et non à la deuxième personne du pluriel (ayions qui d’ailleurs s’écrit sans ‘i’ : ayons). Donc en conservant le subjonctif : on ne nous ait pas rencontrés. Mais telle que cette phrase est écrite, le subjonctif n’est pas justifié, il faudrait écrire : On ne nous a pas rencontrés, sauf si elle est précédée d’une proposition principale, comme : [Je suis surpris qu’] on ne nous ait pas rencontrés.
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Bonjour, appui et conseil sont deux noms communs donc ils portent tous les deux la marque du pluriel : des appuis-conseils (comme des avocats-conseils, exemple du Petit Robert).
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Bonjour, les deux premières phrases sont correctes (les pronoms COD les et qu‘ sont placés avant le verbe, donc il faut bien faire l’accord). La troisième ne comprend pas de PP donc pas de problème d’accord, par contre il faut écrire tu aurais dû (avec l’accent circonflexe). Enfin dans la quatrième, il faut accorder le participe passé : ils se sont constitués.
Cette réponse a été acceptée par Tony. le 21 février 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour, je ne suis pas en mesure d’apporter une réponse formelle à cette épineuse question, mais je me permettrai juste de donner un avis personnel : sur le fond, je suis d’accord avec votre ami professeur, les auteurs « peuvent » tout se permettre, notamment des entorses aux règles de grammaire (que l’on peut considérer comme étant faites pour être transgressées). Nombre de grands écrivains s’y sont risqués avec parfois de fort beaux résultats. Pour moi ce n’est pas le cas dans les deux exemples que vous citez, je ne sais pas si ce méli-mélo des temps est volontaire ou non, mais il n’apporte rien sur le plan stylistique et je ne vois pas spécialement ce qui serait mis en valeur ou en évidence dans ces phrases. Mais ce n’est que mon humble avis…
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Bonjour, l’adjectif massant(e) existe (le Petit Robert nous propose un fauteuil massant) donc ici il s’agit bien de bacs massants (s’il avait été précisé des bacs massant doucement les pieds par exemple, il se serait alors agi du participe présent qui serait resté invariable).
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Bonjour, pour la première phrase, votre raisonnement est bon (elles auraient cru qui ? elles-mêmes), donc il faut faire l’accord (elles se seraient crues chez les Aristochats). Pour la deuxième, mon premier réflexe a été d’accorder avarié avec flan (donc au masculin singulier) puisque c’est bien le flan qui est avarié. Mais après réflexion, je me dis qu’il ne serait certainement venu à l’idée de personne de découper en parts un flan déjà avarié. Le flan a dû être découpé en plusieurs parts alors qu’il était encore encore bon, certaines de ces parts ont été consommées, d’autres sont restées et se sont avariées. Finalement il me paraît donc plus logique d’écrire des parts de flan avariées. Mais grammaticalement les deux sont possibles, bien entendu.
Cette réponse a été acceptée par Tony. le 20 février 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonsoir,
1 – Les deux phrases sont correctes, elles peuvent être employées pas tout à fait indifféremment mais avec la nuance que vous donnez (au singulier, on comprend que c’est vous qui combattriez, au pluriel que les adversaires se combattraient entre eux — ou que vous les combattriez tous, ensemble ou séparément).
2 – la phrase me semble correcte, l’indicatif pour le dernier verbe (je ne pense pas qu’il y ait grand monde qui y va) est peut-être acceptable grammaticalement mais me heurte les oreilles…
3 – un tas de pierres puisqu’on ne saurait faire un tas d’une seule pierre ni un tas « en pierre » (comme une statue de pierre) – un jeu de rôle : Petit Larousse et Petit Robert le donnent au singulier, donc je m’en tiendrais à leur avis (bien que le pluriel soit sans doute acceptable)
4 – Madame X, demeurant à Marseille (l’adjectif demeurant(e) existe en tant que terme spécifique du droit, mais dans le langage courant comme ici il s’agit bien d’un participe présent, donc invariable).Cette réponse a été acceptée par Tony. le 19 février 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour, dans ce genre de cas il faut se poser la question suivante : … ce qui a amené qui ? La réponse est moi (ici le pronom m’ mis pour me) qui se trouve avant le verbe, donc il faut faire l’accord (au féminin puisque moi est une femme) : je fus d’abord secrétaire, ce qui m’a amenée à être une personne pleine d’écoute.
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Bonjour, pour votre première question, on peut dire que quelque chose manque ou qu’on manque de quelque chose. Donc la deuxième phrase devrait être Ce n’est pas de filles qu’il manque. Cependant, bien que grammaticalement correcte, cette tournure est plutôt lourde, la première Ce ne sont pas les filles qui manquent est beaucoup plus usuelle.
Pour la deuxième question, les deux formules sont également correctes et peuvent être employées indifféremment (avec peut-être une toute petite nuance, la première phrase pouvant sous-entendre que les deux parties doivent simplement être d’accord — du même avis –, la seconde insistant plus sur la conclusion d‘un accord plus ou moins formalisé).
Cette réponse a été acceptée par Tony. le 19 février 2018 Vous avez gagné 15 points.
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