Le profil de __________________LOve
Débutant
1
points

Questions
1

Réponses
34

  • Débutant Demandé le 22 août 2021 dans Général

    * qu’autour : oui, ‘que’ s’élide toujours
    * lorsqu’aura, lorsqu’après : traditionnellement, pas d’élision, puisque l’élision ne se fait que devant certains mots (il, elle, on, un, en). Mais l’usage actuel, approuvé par des éditeurs, des grammairiens, des lexicographes… permet l’élision généralisée sur le modèle de ‘que’.
    Il paraît qu’ c’est modern’ d’ supprimer les voyell’s qu’on n’ prononc’ pas.
    Personnellement, je n’élide pas après ‘lorsque’. On le sait bien, que le ‘e’ ne se prononce pas en liaison, alors pourquoi tronquer le mot ?
    — quand une fresque aura été peinte –> lorsque aura
    — on peint une fresque après l’autre –> lorsque après
    Le logiciel Antidote fait des élisions systématiques avec ‘lorsque’, ‘puisque’, et ‘quoique’.

    • 2087 vues
    • 3 réponses
    • 0 votes
  • Débutant Demandé le 22 août 2021 dans Question de langue

    Non, ce n’est pas possible.
    Pour pouvoir compléter un adjectif par un agent, il faut que cet adjectif soit l’équivalent d’un participe passé dérivant d’un verbe (un roi aimé du peuple). Or le verbe « inattendre » n’existe pas.
    En revanche, avec l’adjectif-participe-passé « attendu », venant de « attendre », l’expression d’un agent aurait été possible, agent introduit par « par » pour insister sur le participe passé et l’action, introduit par « de » pour insister sur l’adjectif et l’état.
    — Le roi était attendu par le peuple. (on ne qualifie pas le roi par un adjectif, on insiste sur le peuple qui attendait)
    — Le roi présenta des réformes très attendues du peuple. (on qualifie les réformes par un adjectif, on n’insiste pas sur l’attente du peuple)
    Avec ce détour par le sens du verbe, on voit que le contraire d’une réforme attendue du peuple n’est pas une réforme inattendue du peuple.
    Il n’existe pas, ni dans cette phrase ni dans la vôtre (un choix inattendu) de possibilité d’introduire un ‘agent de l’adjectif’.

    Note à @Prince : Votre première réponse est fausse (confusion entre Anne et Christian), et votre deuxième est une simple pollution non constructive. Pourriez-vous les enlever ?

    • 1126 vues
    • 6 réponses
    • 0 votes
  • Débutant Demandé le 20 août 2021 dans Général

    — Non. Le ciel est peut-être ici une représentation d’un pouvoir divin ou de la providence, mais cela n’entraîne pas la majuscule, le mot ne désignant pas Dieu même.
    — On met rarement une majuscule à des mots comme destin, providence, hasard, ciel. Quand on le fait c’est pour insister lourdement, pour donner un autre nom à Dieu, ce n’est pas rigoureusement impossible, mais c’est loin d’être nécessaire.
    — On vérifie facilement avec Wikisource ou GoogleBooks que dans la littérature il n’y a presque jamais de majuscule dans cette expression.
    — Chez les chrétiens, le mot « ciel » (qui ne représente pas Dieu) ne prend pas non plus de majuscule (« sur la terre comme au ciel »), et il ne faut pas chercher de sens chrétien dans « grâce au ciel ».
    — Antidote doit avoir ses raisons, mais je ne vois pas lesquelles.

    • 1541 vues
    • 5 réponses
    • 1 votes
  • Débutant Demandé le 20 août 2021 dans Accords

    Marion étant le vrai prénom de John Wayne, si on parle de la visite de John Wayne à la tour Eiffel, il est normal de ne pas accorder au féminin. Mais si Marion est une femme, alors il faut effectivement accorder au féminin : ne l’a pas déçue.

    • 831 vues
    • 2 réponses
    • 0 votes
  • Débutant Demandé le 20 août 2021 dans Général

    Remplacez « autoriser les victimes à poursuivre un bourreau jusqu’à leur dernier souffle » par « cela ».
    En quoi cela les aiderait-il ?
    Le pronom « il » reprend le sujet neutre de la phrase.
    Quant aux victimes, c’est le pronom « les » qui les désigne.

    • 1115 vues
    • 4 réponses
    • 0 votes