RE: Proposition subordonnée completive
Elle travaille en appui à son mari.
Elle travaille pour appuyer son mari.
Quelle est la nature syntaxique de la première phrase qui permet de s’affranchir d’une proposition subordonnée complétive infinitive ?
Désolée Cataclysme,
Vos tournures sont inappropriées…
Proposition 1 :
La locution « en appui à » n’existe pas, à ma connaissance.
On peut dire « Elle travaille en binôme avec son mari » éventuellement.
Proposition 2 :
« Appuyer son mari » ne veut rien dire. On peut dire par exemple « pour appuyer les dires de son mari, elle a témoigné ».
Dans le sens que vous voulez donner à cette phrase, on dira plutôt « Elle travaille avec son mari pour l’épauler ».
Et vous pouvez même lier les deux phrases : Elle travaille en binôme avec son mari, pour l’épauler.
Maintenant, je n’ai pas compris grand chose à ce qui vous préoccupe, mais je peux vous répondre ceci :
On peut difficilement répondre à des questions commençant par « Pourquoi en français……. », car justement, bien souvent, il n’y a pas de réponse, tant la langue française est parfois complexe.
Merci Cathy pour votre éclairage.
J’ai remarqué qu’en français, on a la possibilité de remplacer une proposition subordonnée complétive infinitive par en + un nom. A titre d’exemple, on peut citer en réponse qui est une bonne tournure permettant de s’affranchir de pour revenir à ou pour répondre à.
Cordialement.