RE: Proposition subordonnée completive

Elle travaille en appui à son mari.

Elle travaille pour appuyer son mari.

Quelle est la nature syntaxique de la première phrase qui permet de s’affranchir d’une proposition subordonnée complétive infinitive ?

4 Réponses

Désolée Cataclysme,

Vos tournures sont inappropriées…
Proposition 1 :
La locution « en appui  à  » n’existe pas, à ma connaissance.
On peut dire « Elle travaille en binôme avec son mari » éventuellement.

Proposition 2 :
« Appuyer son mari  » ne veut rien dire. On peut dire par exemple « pour appuyer les dires de son mari, elle a témoigné ».
Dans le sens que vous voulez donner à cette phrase, on dira plutôt « Elle travaille avec son mari pour l’épauler ».
Et vous pouvez même lier les deux phrases : Elle travaille en binôme avec son mari, pour l’épauler.

Maintenant, je n’ai pas compris grand chose à ce qui vous préoccupe, mais je peux vous répondre ceci :
On peut difficilement répondre à des questions commençant par « Pourquoi en français……. », car justement, bien souvent, il n’y a pas de réponse, tant la langue française est parfois complexe.

Cathy Lévy Grand maître Répondu le 23 mars 2022

Merci Cathy pour votre éclairage.

J’ai remarqué qu’en français, on a la possibilité de remplacer une proposition subordonnée complétive infinitive par en + un nom. A titre d’exemple, on peut citer en réponse qui est une bonne tournure permettant de s’affranchir de pour revenir à ou pour répondre à.

Cordialement.

le 23 mars 2022.
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