RE: Demande d’explication

Bonjour, est-ce possible de me confirmer si ces phrases sont correctes ou non et m’expliquer pourquoi? (Faute de frappe? Mauvaise ponctuation? Vieux français? Erreur de traduction? …)

« ce qu’ils savaient fort bien, quoi qu’ils pussent dire en publie »
« En Angleterre, l’aspect extérieur de l’existence ne nous permet pas le
moins du monde de nous rendre compte au de sentir qu’une époque est morte. »
« Pour faire tomber les illusions qui se répandaient à la fin de celte époque, Malthus mit un diable en liberté. »
« En 1870, l’Allemagne avait une population d’environ 40 millions d’habitants. Vers 1,892, ce chiffre s’était élevé à 50 millions et. au 30 juin 1914, à environ 68 millions, »
« d’où il faut déduire cependant une émigration de quelques 250.000 personnes. »
 » mais étaient à peu, près égales à celle de toute l’Amérique du Nord. »

le contexte de ces phrases est le suivant: traduction de l’anglais vers le français d’un ouvrage de Keynes en 1920. Les phrases sont retranscrites telles qu’elles apparaissent dans l’édition.

3 Réponses

Merci Prince, c’est également ce que je pensais.
J’ai signalé à l’éditeur ce qui me semble être des erreurs, mais il m’a répondu que l’édition ne contenait que 7 fautes d’accord dans l’entièreté de l’ouvrage.
Or les phrases que j’ai copié ne concerne qu’un partie du premier chapitre du livre ce qui veut dire qu’on dépassera largement les 7 fautes.

Je trouve vraiment bizarre d’éditer un livre avec autant d’erreurs.

J’ai trouvé le PDF du livre en ligne (moi j’ai acheté ce livre mais il est proposé gratuitement sur internet), je poste le lien ici pour ceux que ça intéresse. Je suppose que l’éditeur s’est contenter de reprendre ce PDF pour le commercialiser.

http://www.pratclif.com/economy/keynes/keynes_consequences_paix.pdf

Merci pour la réponse, elle me conforte dans « ma langue française »!

AlexStewart Débutant Répondu le 7 août 2020
Votre réponse
Question orthographe est un service proposé par Woonoz, l'éditeur du Projet Voltaire et du Certificat Voltaire.