RE: Article partitif vs article indéfinis

Bonjour à toutes et à tous,

En tant qu’apprenant du français, j’ai toujours du mal à comprendre l’utilisation de l’article partitif de à la négation en opposition à l’utilisation des articles indéfinis.  Alors, je m’adresse à vous pour vous demander des éclaircissements sur les cas où l’on peut utiliser les articles indéfinis au lieu de l’article partitif de.

Dans un texte que je lis, j’ai trouvé ce paragraphe:

« Presque toutes les conduites linguistiques se situent au niveau de la pensée inconsciente. En parlant, nous n’avons pas conscience des lois syntactiques et morphologiques de la langue. De plus, nous n’avons pas une connaissance consciente des phonèmes que nous utilisons pour différencier le sens de nos paroles »

Après la lecture de la phrase soulignée, je me suis posé les questions suivantes:

1. Pourquoi l’auteur utilise l’article indéfini une  au lieu de l’article partitif de?
2. Serait-il correct d’utiliser l’article partitif de dans ce cas-là?
3. En cas d’être possible d’échanger les articles, est-ce qu’il y a une différence sémantique?
4. Si ce n’est pas possible de les échanger, comment dois-je faire afin d’identifier l’article correct à utiliser?

Vous ne pourriez pas imaginer à quel point je vous serais reconnaissant de pouvoir répondre à mes questions.

 

Linguae Amans Érudit Demandé le 6 décembre 2019 dans Question de langue
3 Réponses

Ayme a écrit : C’est très net avec le déterminant article défini « les », c’est également le cas avec les déterminants indéfinis « un » ou « des », malgré ce qu’en dit Tara. L’adjectif est alors attribut.

Ce que Tara avait alors reconnu. Je ne pense pas que cette référence à une de mes erreurs soit particulièrement élégant.  Nous apprenons tous ici et c’est ce qui fait l’intérêt de cet espace. Réfléchir, échanger… et dans un bon esprit, espérons-le.

Tara Grand maître Répondu le 7 décembre 2019
Votre réponse
Question orthographe est un service proposé par Woonoz, l'éditeur du Projet Voltaire et du Certificat Voltaire.