En principe, l’expression n’est pas correcte. Peut-être est-ce une licence poétique, mais l’expression n’est pas suffisamment élégante pour l’être.

Pouvez-vous nous donner le numéro de paragraphe de votre référence ?

« ce sont des nuits où l’on entend… » est en apposition et constitue une proposition à part entière.
Le présentatif est donc au pluriel, en accord avec des nuits.
« L’absence d’un père, ce sont des nuits où l’on entend des bruits de pas feutrés qui ne sont pas. » (sans majuscule à père).
C’est joliment dit.

On peut, bien sûr, dire « situé au 15, rue… » ; on peut aussi dire « situé 15, rue… »

On dira plutôt :
« La fin de la formation est fixé pour mai 2018 ».

• Un verbe pronominal est dit réfléchi lorsque le sujet agit sur lui-même.
Je me coupe (il coupe lui-même).
Il se rase (il rase lui-même).
Elles se lavent.

• Un verbe pronominal non réfléchi est un verbe pronominal dont l’action ne se reporte pas sur le sujet.
Elles se sont aperçues de leur erreur (elles n’aperçoivent pas elles-mêmes).
Il s’attendait à mieux (il n’attend pas lui-même).
Nous nous attaquons au vrai problème (nous n’attaquons pas nous-mêmes).

1) La nuit, tous les chats sont gris.
La construction n’est pas sujet, verbe, COD, mais sujet, verbe, attribut.

2) Vous compliquez bien les choses.
Il n’y a aucun complément circonstanciel dans cette phrase.
Pourquoi vous poser toutes ces questions ?

Je ne sais où vous vous avez vu cette règle.

La véritable règle donnée par le Projet Voltaire est celle-ci :
« Feu est un adjectif qui s’accorde en genre et en nombre lorsqu’il prend place entre un déterminant et un nom. Ce terme est en revanche invariable quand ilest placé devant un déterminant ou lorsqu’il n’y a pas de déterminant.

Rappelons que le terme de déterminant désigne les articles autres que qualificatifs, c’est-à-dire les adjectifs démonstratifs, possessifs, indéfinis, interrogatifs, exclamatifs, numéraux cardinaux et relatifs. »

La règle ne dit donc pas : « feu » s’accorde avec le nom s’il suit un « article défini » ou un adjectif possessif.

Problème ambigu. Est-ce le montant qui a été versé ou l’aide ? Le choix détermine l’accord.
On peut considérer que l’aide est l’antécédent de qui, auquel cas on accordera avec l’aide, au féminin (versée).
On peut aussi considérer que c’est le montant qui a été versé, auquel cas c’est le montant [de l’aide] qui devient l’antécédent de qui, et on accordera avec le montant, soit au masculin (versé).
Bien malin qui pourrait le dire.
En tout cas aucune des deux solutions n’est fautive.

1) On dira :
« La personne dont. nous nous sommes occupés ».

2) On peut écrire soit au singulier soit au pluriel.
En revanche, on écrira :
« Les auteurs de passage à l’acte violent » (ou de passages).