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  • Grand maître Demandé le 20 février 2024 dans Question de langue

    J’ai un doute : « ça ne coûte rien » fait référence à un coût (argent ou huile de coude). Le seul coût serait les larmes des enfants ? Non, ça n’a pas de sens.
    Il me semble que pour votre phrase, « on ne risque rien d’essayer » conviendrait mieux, le seul risque serait que les enfants pleurent si ça ne fonctionnait pas.
    Mon autre doute est que « sauf » me semble ne pas convenir ici non plus.
    Ma suggestion :
    Après tout, on ne risque rien d’essayer, si ce n’est / à part /excepté les pleurs des enfants que cela déclencherait, si ça ne fonctionnait pas…

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  • Grand maître Demandé le 20 février 2024 dans Conjugaison

    Petite remarque : la tournure consacrée est « tu me l’ôtes de la bouche », ou éventuellement « tu me l’enlèves de la bouche ».
    Je ne suis pas sûre que « tu me le sors  de la bouche » soit très français… 

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  • Grand maître Demandé le 20 février 2024 dans Accords

    Contribution qui a aidé qui ? « Nous », première personne du pluriel, COD placé avant l’auxiliaire « avoir », donc on accorde en genre et en nombre :
    Si « nous » renvoie à des femmes : qui nous a aidées
    Si « nous » renvoie à des hommes ou un public mixte : qui nous a aidés

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  • Grand maître Demandé le 18 février 2024 dans Question de langue

    Pompadour,

    Je suppose que vous allez encore me détester… mais je ne peux résister car l’enjeu est important pour vous.
    Je suis de l’avis de Bruno « cet extrait ressemble à un mauvais pastiche ».

    Vous avez choisi un style ampoulé, soit, mais ça ne vous empêche pas d’employer les bons termes et les bonnes tournures, et surtout à bon escient. D’autant plus qu’il s’agit de l’incipit  de votre roman !
    Vous vous devez absolument d’y être à la hauteur de vos prétentions, au lieu de vous noyer dans une débauche de mots…
    (à propos « fictionnel  » n’existe pas… « mon personnage » suffisait, ou pourquoi pas « mon héros »)

    Pour ce qui est du fond, vous commencez votre ouvrage en assenant une vérité (maladroit) qui en plus n’en est pas une.
    D’abord parce que si le spectacle n’est pas bon, ou les comédiens mauvais, le théâtre ne fait pas salle comble, tout simplement.
    D’autre part, pensez-vous vraiment que les gens sont si influençables ? On ne peut forcer personne à rire, à pleurer, à s’émouvoir…
    Si un spectacle ou un humoriste ne me touche pas, je peux vous assurer qu’il peut y avoir mille personnes réjouies autour de moi, ça ne m’incitera pas à changer d’avis. Et inversement, évidemment.

    Pour ce qui est de la forme, l’emploi du « que » est loin d’être le seul problème de ce texte, malheureusement :

    On peut dire qu’une plage ou une place est « noire de monde », mais cela ne convient pas à une salle de spectacle.
    On dit que la salle est pleine, ou bien que « le théâtre fait salle comble » (et non pas que « la salle est comble de spectateurs« ).
    Adjectif « comble » dictionnaire de l’Académie voir ICI

    « En présence d’un spectacle » est inapproprié, car « en présence » s’applique à des êtres vivants.
    « Que tout le monde va l’aimer » est vraiment maladroit, et même incorrect.
    « Un spectacle décent » ne convient pas. (conforme à la bienséance ?)
    « Si pas grand monde s’est déplacé » est du charabia.
    Et que vient faire le style direct en fin de paragraphe, à part alourdir encore la phrase ?

    (Quand un théâtre fait salle comble) Si une salle de spectacle est pleine, la représentation pourrait être mauvaise, tout le monde l’aimerait tout de même ; tandis que, même devant un spectacle intéressant, un public clairsemé aura tendance à penser que la pièce est mauvaise.

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  • Grand maître Demandé le 18 février 2024 dans Général

    Chambaron vous m’écrivez « C’est vous qui ajoutez « le repas », ce qui est vraisemblablement inutile eu égard au contexte. »

    Je suis désolée, je ne le fais pas exprès, mais je n’arrive même pas à comprendre le sens de votre phrase…
    En parlant de vraisemblance et de contexte, que commencez-vous par une entrée sinon un repas ?

    Vous donnez vous-même en référence la phrase citée par le dictionnaire de l’Académie « le repas débute par des hors-d’œuvre » : vous notez bien que « repas » est ici sujet, n’est-ce pas ? Et que, sous-entendu de toute évidence dans la phrase de Nat,  il devient COD…
    À moins qu’il ne s’agisse de quelqu’un qui fait ses premiers pas dans une carrière en commençant par des hors-d’œuvre ?
    Qu’en pensez-vous ?

    Nat, pouvez-vous nous confirmer qu’il s’agit bien d’un repas, dans cette phrase, s’il vous plaît ?

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  • Grand maître Demandé le 16 février 2024 dans Général

    Désolée Chambaron, mais « débuter par une entrée  » (c’est précisément la question posée ici !) signifie « débuter  le repas par une entrée », ce qui n’est pas du tout « parfaitement correct » comme vous le dites,..
    Et justement l’Académie donne : Le repas débuta par des hors-d’œuvre.

    Nat, pour finir de vous convaincre, je vous conseille l’article de l’Académie ICI

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  • Grand maître Demandé le 14 février 2024 dans Général

    Petite précision : le verbe « débuter » est intransitif.
    Donc à mon sens « débuter par » ne convient pas, car cela sous-entend « débuter le repas par une entrée », ce qui est inapproprié, car ce verbe ne peut pas avoir de COD.
    Mon conseil : utilisez plutôt « commencer » qui convient en toute circonstance.   

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  • Grand maître Demandé le 14 février 2024 dans Accords

    Elle nous rend fous : première personne du pluriel 
    Elle nous rend folles
    Elle me rend fou / folle

     

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  • Grand maître Demandé le 6 février 2024 dans Question de langue

    En théorie, oui, « 1,5 verre » pourrait être correct… mais d’un point de vue littéraire, ça fait vraiment mal aux yeux et aux oreilles……………..

    Je ne comprends pas très bien pourquoi vous êtes « obligé » d’écrire vos chiffres sous leur forme numérique, vous devez avoir vos raisons… En principe, en littérature les chiffres s’écrivent en toutes lettres, je pense que vous le savez bien sûr (d’où votre précision).
    Maintenant, puisque nous sommes dans les chiffres, autant jouer le jeu jusqu’au bout, car « un verre de bière » c’est assez vague.
    On dit plutôt (dictionnaire de l’Académie) :
    Un demi de bière ou, elliptiquement, un demi, verre de bière d’une contenance de vingt-cinq centilitres. Un vrai demi, verre ou chope de bière d’une contenance de cinquante centilitres.
    Aussi, voici ma suggestion :   
    … 400 spectateurs qui, en moyenne, ingurgitent chacun 37,5 centilitres de bière

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  • Grand maître Demandé le 29 janvier 2024 dans Conjugaison

    Tout d’abord je ne comprends pas pourquoi on vous a attribué un vote négatif Catherinette, pour cette question que personnellement je trouve intéressante. Il faut croire que certains contributeurs ne trouvent leur bonheur que comme ça……………..

    Il est vrai que les temps choisis dans cette phrase sont incompréhensibles, et je pense qu’il s’agit d’une erreur.
    Je comprendrais mieux :
    Les rapports s’améliorèrent au IXe siècle lorsque, dit-on, les Japonais offrirent au souverain de Silla de grandes quantités d’or…….

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