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  • Grand maître Demandé 14 heures auparavant dans Accords

    À mon sens, le terme « escouade » est inadapté aux mouettes voir ICI
    On dira plutôt un vol de mouettes.

    De la même façon, le verbe « rallier » est inapproprié dans votre exemple voir ICI
    On dira plutôt « pressées de rejoindre la mer ».

    Le verbe « piailler » ne correspond pas au cri de la mouette voir ICI

    Votre phrase est difficile à accorder sous cette forme, car ce sont en effet les mouettes qui poussent ces cris, et également elles qui sont pressées.
    Je vous suggère de changer de tournure.

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  • Grand maître Demandé 4 jours auparavant dans Accords

    En toute logique vous devez pouvoir écrire « ils sont frère et sœurs ».

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  • Grand maître Demandé 4 jours auparavant dans Général

    Ces deux phrases sont maladroites, notamment à cause de la tournure « brûlant / brûlantes de froid« , oxymore assez peu naturel et peu parlant en français. On peut être « brûlant de fièvre« , ou « tremblant de froid« , dans le langage courant.

    1 / Il répare quelque chose de ses mains brûlant de froid : si vous ajoutez une virgule après mains, on peut comprendre que c’est le personnage qui « brûle de froid ».

    2 / Il répare quelque chose de ses mains brûlantes de froid : ici on comprend que ce sont ses mains qui « brûlent de froid ».

    On dirait plutôt :
    Il répare l’objet, les mains gelées, et tremblant de froid.

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  • Grand maître Demandé 4 jours auparavant dans Général

    Je suppose que votre correcteur confond avec la tournure « les unes les autres » raison pour laquelle il vous souligne « des autres ».
    On peut employer cette tournure dans le sens de « mutuellement », dans des phrases comme :
    Elles se félicitèrent / s’encouragèrent les unes les autres. (l’une encourage l’autre et inversement)

    Ce n’est pas le cas dans l’exemple qui vous préoccupe, elles se jettent dans les bras des autres.
    Si elles ne sont que deux, on dira :  Elles se jetèrent dans les bras l’une de l’autre (et non pas « l’une l’autre« )
    Et donc si elles sont plus nombreuses : Elles se jetèrent dans les bras les unes des autres.  

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  • Grand maître Demandé 6 jours auparavant dans Général

    En effet « ce dont j’en » ne convient pas, car cela revient à dire « ce dont de ».

    J’en ai marre / assez de –> ce dont j’ai marre / assez

    J’en ai soupé de ces tâches –> ce dont j’ai soupé

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  • Grand maître Demandé le 16 mars 2024 dans Question de langue

    Voici ce qu’en disent les Académiciens :

    Associé au pronom indéfini rien, dans des tournures que l’on confond souvent, bien que leur sens s’oppose.
    Ne… rien moins que signifie « nullement, en aucune façon ». 
    Il n’est rien moins que sage
    = il n’est pas du tout sage.

    Au contraire,

    Ne… rien de moins que signifie « véritablement, bel et bien ».
    Il n’est rien de moins que le meilleur spécialiste de la question = il l’est sans aucun doute.

    Rien de moins ou Rien moins s’emploient aussi, sans négation, avec une valeur ironique, dans le sens de « pas moins », pour souligner l’extravagance d’une demande, d’une prétention :
    Il se prend pour un héros, rien de moins ou rien moins.

    Aussi Jean, dans votre phrase la négation s’impose. Et comme le sens en est « il est vraiment stupide« , vous écrirez :
    On le croit capable de mener à bien ce projet, pourtant il n’est rien de moins que stupide.

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  • Grand maître Demandé le 16 mars 2024 dans Accords

    Ici « bien » est un adverbe, donc invariable, à ne pas confondre avec le nom, qui au pluriel _ « les biens » _ signifie   « ce que l’on possède ».

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  • Grand maître Demandé le 12 mars 2024 dans Question de langue

    Je suis de votre avis Kimberlite, cette phrase est bizarre et incorrecte. Et sans logique en plus.

    D’abord la première proposition ne comporte pas de verbe, et serait correcte si elle était au moins suivie d’un point d’exclamation, de points de suspension, ou encore de deux points, pour traduire une exclamation orale, comme par exemple :
    (On reconnaît bien là) Simone au grand cœur !  / (Incorrigible) Simone et son bon cœur : bla-bla-bla  / (Que voulez-vous, c’est) Simone et son grand cœur…

    De plus, on dira « elle n’a pas eu d’autre choix » au singulier : elle n’a pas eu l’embarras du choix (et non pas « des choix « ).
    D’autre part, en toute logique le seul choix qu’elle a eu est de dire oui, son empathie étant la cause de son choix.
    Et puis « chose pour laquelle  » est vraiment très lourd…
    Mes suggestions :
    Ah, Simone et son grand cœur… Elle n’a pas eu d’autre choix que de dire « oui », guidée par son empathie…
    Les tournures qui me semblent plus justes :
    Ah, Simone et son empathie !… N’écoutant que son grand cœur, elle n’a pas eu d’autre choix que de dire « oui »… ce dont je ne peux lui en vouloir, bien au contraire.  

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  • Grand maître Demandé le 5 mars 2024 dans Question de langue

    J’avoue que je ne comprends pas très bien, car vos phrases n’ont pas l’air de correspondre à vos explications.
    « Coller les vignettes de la fiche A dans l’ordre de notre histoire. « 
    Cette phrase signifie « en suivant la chronologie de l’histoire que nous avons inventée ensemble », c’est bien ça ?
    Dans ce cas,  ça ne concerne pas l’histoire réinventée par les élèves, c’est un peu flou pour moi…
    À moins que vous ne vouliez dire (sans être obligé d’utiliser le pronom) :
    en suivant la chronologie de l’histoire initiale
    Ou bien
    en suivant la chronologie de l’histoire réinventée

    « Coller les vignettes de la fiche C dans l’ordre de sa propre histoire. »
    Là encore ça n’est pas clair pour moi. Aussi je vous fais la même suggestion :
    en suivant la chronologie de l’histoire réinventée     

     

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  • Grand maître Demandé le 3 mars 2024 dans Question de langue

    La tournure est tout à fait correcte. C’est peut-être le « si » qui vous fait douter.
    Voici comment je comprends la phrase :
    Si l’action se situe dans le passé
    (À cette époque / lors de cette randonnée / pendant la canicule, …) quand tu avais soif, tu ne pouvais boire / tu n’avais pas le droit de boire plus qu’une petite bouteille comme ça.
    Ou bien
    si tu avais eu soif, tu n’aurais pu boire que ça
    Si l’action se situe dans le futur
    (Quand vous serez là-bas),
    si tu as soif, tu ne pourras boire que ça
    (au cas où) si tu avais soif, tu ne pourrais boire que ça

     

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